Résultats records1 pour un autre exercice

VANCOUVER, Colombie-Britannique--(BUSINESS WIRE)--HSBC Bank Canada:



Commentaire de Linda Seymour, présidente et chef de la direction de la Banque HSBC Canada2, au sujet des résultats :

« Pour 2023, notre bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat et le total du résultat d’exploitation ont progressé, continuant une tendance commencée en 2020. Il s’agit en réalité des résultats les plus élevés jamais enregistrés1 au cours de notre existence. Ce record témoigne de l’engagement de nos équipes et des relations solides qu’elles ont développées avec nos clients au fil des années.

Nous prévoyons que la conclusion de la vente à RBC aura lieu dans quelques semaines seulement, soit le 28 mars 2024. Nous avons été très heureux de servir tous nos précieux clients au Canada et dans le cadre de leurs initiatives à l’échelle internationale au cours des 40 dernières années. Notre équipe est impatiente de continuer à vous servir à RBC au cours des années à venir. Avant de clore ce chapitre de l’histoire de la HSBC, je souhaite exprimer mes remerciements à nos employés pour leur engagement et leur résilience et à nos clients pour la confiance qu’ils nous ont accordée. »

Faits saillants3 de la performance financière de 2023 (par rapport à 2022)

  • Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat a atteint un record1, s’étant chiffré à 1 121 M$, en hausse de 41 M$, ou 3,8 %. L’augmentation s’explique en grande partie par le total du résultat d’exploitation le plus élevé jamais enregistré1 de 2 654 M$, en hausse de 106 M$, ou 4,2 %, et par la diminution des charges liées aux pertes de crédit attendues (« PCA »). Les charges d’exploitation ont augmenté de 112 M$, ou 8,2 %, principalement en raison de l’entente visant la vente4 de la Banque HSBC Canada, facteur partiellement atténué par une diminution des dépenses d’investissement en 2023.
  • Tous nos secteurs d’activité ont été rentables, des augmentations du bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat ayant été enregistrées dans trois de nos quatre secteurs d’activité.
  • Le total de l’actif a été de 119,7 G$, ce qui traduit une baisse de 8,6 G$, ou 6,7 %, surtout en raison de la diminution des activités de négociation et des fluctuations du marché dans nos marchés et notre portefeuille de négociation.
  • Le ratio des capitaux propres ordinaires de catégorie 15 s’est situé à 14,2 %, en baisse de 260 points de base par rapport à 2022.
  • Le rendement des capitaux propres moyens attribuables à l’actionnaire ordinaire5 s’est fixé à 14,1 %, en baisse de 90 points de base par rapport à 2022.

Faits saillants3 de la performance financière au quatrième trimestre de 2023 (par rapport au quatrième trimestre de 2022)

  • Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est établi à 228 M$, en baisse de 64 M$, ou 22 %, principalement en raison d’une baisse des produits d’intérêts nets et des produits de commissions nets. Ces diminutions s’expliquent surtout par la hausse du coût du passif découlant de la montée des taux d’intérêt et de la variation de la composition des dépôts, alors que les rendements des actifs ont augmenté, et par les conditions de marché toujours difficiles, ce qui s’est traduit par une baisse des commissions tirées des facilités de crédit et des commissions tirées des fonds d’investissement sous gestion. Ces facteurs ont été partiellement compensés par la hausse des produits de négociation et la diminution des charges d’exploitation et des charges liées aux PCA.

1.

 

Bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat et total du résultat d’exploitation records pour l’exercice, excédant les précédents montants records présentés en 2022.

2.

 

La Banque HSBC Canada ainsi que ses filiales (collectivement « la banque », « nous », « notre ») est une filiale en propriété exclusive indirecte de HSBC Holdings plc (« HSBC Holdings »). Dans le présent document, HSBC Holdings est désigné comme le « Groupe HSBC » ou le « Groupe ».

3.

 

Comparaison du trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 2023 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire). Les abréviations « M$ » et « G$ » signifient millions et milliards de dollars canadiens, respectivement.

4.

 

Le 29 novembre 2022, le Groupe HSBC a annoncé une entente visant la vente de la totalité de sa participation dans la Banque HSBC Canada à la Banque Royale du Canada (« RBC »). Le 21 décembre 2023, la ministre des Finances fédérale a approuvé l’acquisition proposée, ce qui a permis la poursuite du processus de la vente. Pour plus de précisions, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Entente visant la vente de la Banque HSBC Canada » du présent document.

5.

 

Pour plus de précisions au sujet de ces mesures financières, il y a lieu de se reporter aux rubriques « Utilisation de mesures financières supplémentaires » et « Faits saillants financiers » du présent document.

Analyse des résultats financiers consolidés du trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 20231

Les produits d’intérêts nets se sont établis à 399 M$ pour le trimestre, en baisse de 80 M$, ou 17 %, en raison de la hausse du coût du passif découlant de l’augmentation des taux d’intérêt et de la variation de la composition des dépôts, facteurs compensés en partie par la hausse des rendements des actifs. Les produits d’intérêts nets se sont chiffrés à 1 721 M$ pour l’exercice, soit une hausse de 87 M$, ou 5,3 %, ce qui s’explique par l’incidence des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours de l’exercice et de la hausse de la moyenne des prêts et avances à des clients par rapport à 2022, facteurs atténués en partie par les mêmes facteurs que ceux décrits pour le trimestre.

Les produits de commissions nets se sont chiffrés à 183 M$, en baisse de 9 M$, ou 4,7 %, pour le trimestre, en raison des conditions de marché toujours difficiles ayant entraîné une baisse des commissions tirées des facilités de crédit découlant de la diminution du nombre de nouveaux prêts des Services bancaires internationaux et un recul des commissions tirées des fonds d’investissement sous gestion de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers. Ces diminutions ont été partiellement neutralisées par la hausse des commissions de prise ferme et des commissions de courtage dans notre secteur Services bancaires internationaux et l’intensification des activités au chapitre des cartes.

Les produits de commissions nets se sont établis à 753 M$ pour l’exercice, en baisse de 26 M$, ou 3,3 %. Cette baisse découle principalement des conditions de marché difficiles ayant entraîné un recul des commissions tirées des fonds d’investissement sous gestion de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers. À ce recul s’ajoute la diminution des commissions tirées des facilités de crédit et des commissions de courtage dans notre secteur Services bancaires internationaux et la hausse de la charge de commissions liée aux frais de compensation interbanque. Ces diminutions ont été partiellement neutralisées par l’intensification des activités au chapitre des cartes et l’augmentation des transactions des services à l’égard des comptes et la hausse des commissions tirées des facilités de crédit dans le secteur des Services aux entreprises grâce à l’accroissement des volumes des acceptations bancaires.

Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction pour le trimestre se sont élevés à 45 M$, en hausse de 12 M$, ou 36 %. L’augmentation s’explique principalement par une hausse des produits tirés des activités de négociation et l’augmentation des produits d’intérêts nets attribuable à la montée des taux d’intérêt.

Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction se sont chiffrés à 149 M$ pour l’exercice, en hausse de 50 M$, ou 51 %. Cette augmentation découle des mêmes facteurs que ceux décrits pour le trimestre. À ces facteurs s’ajoute la hausse des produits sur les activités de négociation qui découle de la variation défavorable de la valeur d’une facilité de syndication de prêts au cours de l’exercice précédent et d’une variation favorable de l’inefficacité des couvertures principalement attribuable aux instruments de couverture des flux de trésorerie.

La variation des PCA pour le trimestre s’est traduite par une charge de 22 M$, qui découle principalement des nouvelles charges liées aux prêts non productifs et de l’incidence de la montée des taux d’intérêt sur le portefeuille de prêts hypothécaires. Au quatrième trimestre de 2022, la charge de 28 M$ découlait avant tout des variations défavorables continues des variables macroéconomiques prospectives liées aux prêts productifs à ce moment.

Pour l’exercice, la variation des PCA a représenté une charge de 63 M$, contre une charge de 110 M$ en 2022. La charge pour l’exercice découle des mêmes facteurs que ceux décrits pour le trimestre, facteurs neutralisés en partie par une reprise liée aux prêts productifs en raison d’une amélioration relative des variables macroéconomiques prospectives. En 2022, les PCA découlaient d’une charge importante au titre d’un prêt de stade 3 d’un montant élevé au premier semestre de 2022. Les PCA au titre des prêts productifs ont donné lieu à une charge nette découlant des variations défavorables des variables macroéconomiques prospectives au cours des neuf derniers mois de 2022, ce qui a été partiellement contrebalancé par une reprise sur des corrections de valeur essentiellement attribuables à la COVID-19 liée aux prêts productifs au premier trimestre de 2022.

Le total des charges d’exploitation pour le trimestre s’est établi à 386 M$, en baisse de 8 M$, ou 2 %, ce qui s’explique principalement par une dépréciation des immobilisations incorporelles enregistrée au cours de l’exercice précédent relativement à l’entente visant la vente2 de la Banque HSBC Canada et une diminution des dépenses d’investissement en 2023. Ces facteurs ont été contrebalancés en partie par une augmentation des coûts du fait de l’entente visant la vente2 et une hausse des coûts liés au personnel.

Le total des charges d’exploitation s’est élevé à 1 470 M$ pour l’exercice, en hausse de 112 M$, ou 8,2 %. L’augmentation est principalement imputable aux coûts liés à l’entente visant la vente2, lesquels tiennent compte de la nouvelle évaluation de la durée d’utilité des immobilisations incorporelles. L’augmentation des coûts liés au personnel a également contribué à la hausse. Ces facteurs ont été partiellement atténués par la baisse des dépenses d’investissement en 2023.

Charge d’impôt sur le résultat : Le taux d’imposition effectif pour le trimestre a été de 19,0 %, comparativement à 26,7 % pour la période correspondante de l’exercice précédent. L’écart entre les taux d’imposition effectifs est essentiellement imputable à une baisse de nos passifs d’impôts futurs et à un remboursement d’impôt lié à des exercices antérieurs.

Le taux d’imposition effectif pour l’exercice a été de 26,1 %, contre 26,7 % pour 2022. Le taux d’imposition pour l’exercice correspond au taux prévu par la loi applicable à la banque, après ajustement pour tenir compte d’une diminution des passifs d’impôt. Le taux prévu par la loi était de 27,8 % en 2023, comparativement à 26,5 % en 2022. Les taux de 2023 incluent la taxe additionnelle de 1,5 % imposée aux banques et aux groupes de sociétés d’assurance-vie annoncée en avril 2022 lorsque leur bénéfice imposable excède 100 M$.

1.

 

Comparaison du trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 2023 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire).

2.

 

Le 29 novembre 2022, le Groupe HSBC a annoncé une entente visant la vente de la totalité de sa participation dans la Banque HSBC Canada à la Banque Royale du Canada (« RBC »). Le 21 décembre 2023, la ministre des Finances fédérale a approuvé l’acquisition proposée, ce qui a permis la poursuite du processus de la vente. Pour plus de précisions, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Entente visant la vente de la Banque HSBC Canada » du présent document.

Évolution de la situation financière

Actif
Le total de l’actif s’est élevé à 119,7 G$ au 31 décembre 2023, en baisse de 8,6 G$, ou 6,7 %, par rapport au 31 décembre 2022. Cette baisse s’explique surtout par une utilisation moindre du bilan aux fins des activités de négociation, ce qui a entraîné une diminution de 2,4 G$ des prises en pension et de 1,0 G$ des actifs détenus à des fins de transaction. Les dérivés ont également diminué de 2,3 G$ en raison des fluctuations du marché. Les volumes de prêts à des clients et d’acceptations ont diminué principalement en ce qui concerne les prêts hypothécaires et les prêts commerciaux en raison des conditions de marché actuelles, ce qui a réduit les prêts et avances, les engagements de clients en contrepartie d’acceptations et les autres actifs.

Passif
Le total du passif s’est chiffré à 112,7 G$ au 31 décembre 2023, en baisse de 9,7 G$, ou 7,9 %, par rapport au 31 décembre 2022. La baisse s’explique surtout par les échéances nettes des titres de créance émis de 5,6 G$. La diminution de 2,5 G$ des dérivés et de 1,9 G$ des passifs détenus à des fins de transaction correspond à la variation des actifs respectifs. Ces baisses ont été partiellement compensées par la hausse des volumes des dépôts découlant principalement des comptes de clients de 1,0 G$ de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers et des Services bancaires internationaux.

Capitaux propres
Le total des capitaux propres s’établissait à 7,0 G$ au 31 décembre 2023, ce qui signale une hausse de 1,1 G$, ou 19 %, par rapport au 31 décembre 2022. L’augmentation découle essentiellement du bénéfice après impôt de 0,8 G$ généré durant l’exercice et des autres éléments du résultat global de 0,4 G$ qui découlent en grande partie des profits nets principalement liés aux variations favorables des taux d’intérêt liés aux couvertures des flux de trésorerie. Ces facteurs ont été partiellement contrebalancés par les dividendes de 0,1 G$ versés sur les actions privilégiées.

Dividendes

Dividendes déclarés en 2023
Au cours de l’exercice, la banque a déclaré et versé des dividendes d’un montant de 78 M$ sur ses actions privilégiées de catégorie 1 de la Banque HSBC Canada et a versé ces dividendes toutes séries confondues, conformément à leurs modalités. Aucun dividende n’a été déclaré ni versé sur les actions ordinaires de la Banque HSBC Canada au cours de 2023.

Dividendes déclarés en 2024
Pour le moment, aucun dividende n’a été déclaré sur les actions ordinaires de la Banque HSBC Canada au cours du premier trimestre de 2024.

Résultats des secteurs d’activité pour le trimestre et l’exercice clos le 31 décembre 20231

Services aux entreprises (« SE »)
Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat pour le trimestre s’est chiffré à 170 M$, en baisse de 15 M$, ou 8,1 %, en raison surtout de l’augmentation des charges d’exploitation et de la diminution des produits de commissions nets. Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat pour l’exercice s’est chiffré à 757 M$, en hausse de 44 M$, ou 6,2 %, en raison principalement d’une hausse du résultat d’exploitation et d’une baisse des charges liées aux PCA par rapport à l’exercice précédent.

Le total du résultat d’exploitation s’est établi à 310 M$ pour le trimestre, une baisse de 6 M$, ou 1,9 %, et à 1,2 G$ pour l’exercice, en hausse de 38 M$, ou 3,2 %. Les SE ont conservé leur élan en 2023, la moyenne des prêts et des acceptations s’étant accrue de 1,7 G$, ou 4,8 %, au cours de l’exercice et la moyenne des soldes des dépôts ayant augmenté de 0,7 G$, ou 2,5 %, en regard de ceux enregistrés en 2022. La baisse du total du résultat d’exploitation pour le trimestre s’explique surtout par la diminution des produits de commissions nets. Les produits d’intérêts nets se sont accrus pour l’exercice en raison de l’incidence des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours de l’exercice et de l’accroissement de la moyenne des volumes de prêts. Les produits autres que d’intérêts ont également progressé du fait d’une augmentation des produits tirés des transactions liées aux produits de change et des volumes des acceptations bancaires et des activités au chapitre des cartes de crédit d’entreprise plus élevés.

Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers (« GPSBP »)
GPSBP a enregistré un résultat d’exploitation et un bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat records2 pour l’exercice, excédant les précédents résultats records présentés en 2022.

Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat pour le trimestre s’est établi à 57 M$, en baisse de 49 M$, ou 46 %, qui découle essentiellement de la diminution des produits d’intérêts nets et d’une hausse des charges d’exploitation. Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat pour l’exercice s’est chiffré à un record2 de 364 M$, en hausse de 50 M$, ou 16 %, en raison principalement du résultat d’exploitation record2 enregistré, facteur atténué en partie par la hausse des charges d’exploitation et des PCA.

Le total du résultat d’exploitation pour le trimestre s’est établi à 259 M$, en baisse de 32 M$, ou 11 %, principalement en raison de la diminution des produits d’intérêts nets découlant du recul des produits associés à la gestion de la trésorerie et des variations de la composition des dépôts, facteurs partiellement compensés par l’amélioration des marges par suite des majorations de taux pratiquées par la banque centrale et la hausse de la moyenne des soldes des dépôts. Pour l’exercice, GPSBP a enregistré un résultat d’exploitation record2 qui s’est établi à 1,1 G$, en hausse de 104 M$, ou 10 %. Cette hausse a découlé de l’amélioration des marges, de la progression de la moyenne des soldes des dépôts et de l’augmentation des produits tirés des activités de courtage en ligne, facteurs qui ont été neutralisés en partie par les variations de la composition des dépôts et le recul des produits associés à la gestion de la trésorerie.

Services bancaires internationaux (« SBI »)
Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat pour le trimestre s’est établi à 26 M$, en baisse de 35 M$, ou 57 %, ce qui découle principalement de la diminution des produits d’intérêts nets, comme il est décrit ci-après. Pour l’exercice, le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est élevé à 133 M$, en hausse de 2 M$, ou 1,5 %, ce qui s’explique surtout par une variation favorable des pertes de crédit attendues et une baisse des charges d’exploitation, facteurs atténués en partie par une baisse du résultat d’exploitation.

Pour le trimestre, le total du résultat d’exploitation s’est élevé à 48 M$, en baisse de 31 M$, ou 39 %, principalement en raison de la hausse du coût du passif découlant de l’augmentation des taux d’intérêt et de la variation de la composition des dépôts, facteur ayant fait diminuer les produits d’intérêts nets. Le total du résultat d’exploitation pour l’exercice s’est établi à 206 M$, en baisse de 17 M$, ou 7,6 %, surtout en raison des mêmes facteurs que ceux décrits pour le trimestre et de la baisse des produits générés par les marchés des capitaux, ce qui reflète le ralentissement des activités des clients et les conditions de marché difficiles. Ces baisses ont été partiellement compensées par les résultats solides provenant des activités au chapitre des transactions bancaires, ce qui s’explique principalement par la hausse des écarts. Les produits de négociation ont également augmenté par rapport à l’exercice précédent où il y a eu une variation défavorable de la valeur d’une facilité de syndication de prêts.

Marchés et Services liés aux valeurs mobilières (« MSVM »)
La perte avant l’impôt sur le résultat a été de 1 M$ pour le trimestre, en baisse de 10 M$. Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat pour l’exercice s’est établi à 29 M$, ayant reculé de 24 M$. La baisse au cours du trimestre et de l’exercice s’explique principalement par la diminution du résultat d’exploitation.

Le total du résultat d’exploitation pour le trimestre s’est établi à 13 M$, en baisse de 8 M$, ce qui s’explique principalement par la diminution des produits d’intérêts nets en raison de la compression des écarts de crédit imputable à la montée des taux d’intérêt, facteur partiellement compensé par la hausse des produits de négociation. Le total du résultat d’exploitation pour l’exercice s’est établi à 79 M$, en baisse de 25 M$, ce qui est principalement imputable aux produits de négociation fixes et à la diminution des produits d’intérêts nets.

Centre général3
Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat pour le trimestre a représenté une perte de 24 M$, par rapport à une perte de 69 M$ à l’exercice précédent. Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat pour l’exercice a représenté une perte de 162 M$, par rapport à une perte de 131 M$ à l’exercice précédent. La baisse est principalement imputable à l’augmentation des coûts liés à l’entente visant la vente4 de la Banque HSBC Canada, qui tient compte de la nouvelle évaluation de la durée d’utilité des immobilisations incorporelles. Ce facteur a été partiellement atténué par la baisse des dépenses d’investissement en 2023 et la hausse des produits autres que d’intérêts.

1.

 

Comparaison du trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 2023 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire).

2.

 

Record annuel depuis la formation de GPSBP (antérieurement Services bancaires de détail et gestion de patrimoine « SBDGP ») en tant que secteur d’activité mondial distinct en 2011.

3.

 

Le centre général n’est pas un secteur d’activité de la banque. Les nombres indiqués ci-dessus présentent un rapprochement des résultats des secteurs d’activité et de ceux de l’entité.

4.

 

Le 29 novembre 2022, le Groupe HSBC a annoncé une entente visant la vente de la totalité de sa participation dans la Banque HSBC Canada à la Banque Royale du Canada (« RBC »). Le 21 décembre 2023, la ministre des Finances fédérale a approuvé l’acquisition proposée, ce qui a permis la poursuite du processus de la vente. Pour plus de précisions, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Entente visant la vente de la Banque HSBC Canada » du présent document.

Pour évaluer sa performance, la banque utilise des mesures financières supplémentaires qui sont établies à partir de chiffres calculés selon les Normes internationales d’information financière, publiées par l’International Accounting Standards Board (« normes IFRS® de comptabilité »). Ce qui suit constitue un glossaire des mesures pertinentes qui sont employées tout au long de ce document, mais qui ne figurent pas dans les états financiers consolidés.

Le rendement des capitaux propres moyens attribuables à l’actionnaire ordinaire correspond au bénéfice attribuable à l’actionnaire ordinaire annualisé de la période, divisé par la moyenne1 des capitaux propres ordinaires.

Le rendement de la moyenne des actifs pondérés en fonction des risques correspond au bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat, divisé par la moyenne1 des actifs pondérés en fonction des risques.

Le ratio d’efficience correspond au total des charges d’exploitation exprimé en pourcentage du total du résultat d’exploitation.

Le ratio du levier d’exploitation s’entend de l’écart entre le taux de variation du résultat d’exploitation et celui des charges d’exploitation.

La marge d’intérêts nette désigne les produits d’intérêts nets exprimés en pourcentage annualisé de la moyenne1 des actifs productifs d’intérêts.

La variation des pertes de crédit attendues en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations s’entend de la variation des pertes de crédit attendues2 annualisée, exprimée en pourcentage de la moyenne1 du montant brut des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d’acceptations.


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